lundi 10 mars 2014

La force et la faiblesse

Ce n'est pas tous les jours que l'on cite en partant d'un billet sur un autre blog.
Sauf quand le billet est de qualité. Comme souvent concernant cet auteur.

Abou DJAFFAR (le pseudonyme) : http://aboudjaffar.blog.lemonde.fr/a-propos/
 
A ne pas confondre avec Izza Rezki, alias Abou Djaffar, principal financier d'Aqmi.
Tué en Algérie en novembre 2010 dans la banlieue de Boumerdès.
Pas le même style... Pas le même parcours... Pas le même camp.

1 commentaire:

  1. La force n'est que le dernier argument injustifiable du pouvoir des faibles.

    Faire usage de la force, est un aveu de faiblesse.

    La force ultime, c'est d'être capable d'arrêter de croire, en avoir besoin. L'ultime force est de vivre en paix avec soi-même, sans avoir besoin de faire chier les autres, pour des prétextes plus bidons les uns que les autres.

    La vraie force, est celle des bâtisseurs, c'est de construire, pas de détruire. C'est de comprendre, et d'apprendre, pas de prendre, ni de pendre.

    La destruction, n'est que la satisfaction temporaire, de sa propre insatisfaction, frustration, et incapacité de vivre, en harmonie, avec ses passions.

    Détruire, c'est avoir peur de la magie de la vie.

    Les vrais solutions pérennes, sont dans l'intégration, les transformations, les mutations, et non les désintégrations.

    Détruire n'est que le luxueux désir de l'arrogance, de l'orgueil du frustré; qui a besoin de manipuler la vérité, pour se sentir un tant soi peu exister, dans la pauvreté, de son absence de responsabilités, afin de se justifier, d'être incapable d'exister, sans frapper.

    L'abus de pouvoir, c'est de croire en la légitimité d'un pouvoir, qui n'existe pas.

    Manipuler, c'est exprimer sa pauvreté, par méconnaissance de la vraie liberté.

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